Muni d’une lettre de recommandation d’un ami du théâtre de l’Ambigu, il est reçu dans la maison Pathé qui l’engage en 1905 : scénariste, réalisateur, acteur, il tourne alors près d’un film par jour.
Son premier court-métrage s’intitule Le Premier cigare d’un collégien (1905). Il tourne quelques drames tels que Les Contrebandiers (1906), La Mort d’un toréador mais le public le préfère dans la comédie où un succès considérable l’attend.